vendredi 28 mars 2014

Parts de mystère ...

L'univers du Yi King ou Yi Jing


Aperçu de phénoménologie de l’univers
à partir du Yi Jing
Cet extrait provient de l’ensemble d’un concept de VIDE ABSOLU dont j’ai déposé le manuscrit à la Société des gens de lettres à Paris le 10 mai 2001

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La part de mystère dans les mathématiques

Intuition pour les uns, hasard, chance ou logique pour les autres… Certaines découvertes en mathématiques sont entourées d’un parfum de mystère. Comme le prouvent les descriptions de ces « illuminations fulgurantes » par des mathématiciens de renommée mondiale.
En 2010, les cheveux mi-longs au carré, un style vestimentaire bien à lui avec ses lavallières de toutes les couleurs et ses broches en forme d’araignée, Cédric Villani, personnage romanesque, extravagant, et surtout talentueux mathématicien, obtient la médaille Fields, la plus haute distinction pour cette discipline. Une consécration lui permettant d’accéder en quelques mois à une popularité mondiale. Deux années plus tard, il revient sur la genèse du théorème à l’origine de cette distinction dans Théorème Vivant.


Fulgurance et imprévisibilité


Dans ce livre, il raconte les circonstances et les différentes étapes qui ont mené sa découverte. Illumination, ligne directe, Cédric Villani évoque sans détour la part de mystère du processus créatif entourant ses recherches : « Je passe en mode semi-automatique et peux ainsi faire usage de toute mon expérience… mais pour en arriver là, il aura fallu un petit coup de fil du Dieu des mathématiques, la fameuse ligne directe se traduisant par une voix qui résonne dans votre tête. Vous avez alors une petite illumination vous incitant à vous diriger vers une certaine direction. C’est très rare, il faut l’avouer ! »

Comme le dit le génie des mathématiques lui-même, « Je peux ainsi faire usage de toute mon expérience… », rappelant le processus de créativité scientifique illustré notamment par le célèbre texte d’Henri Poincaré, mathématicien, physicien et ingénieur et dans lequel il énumère plusieurs exemples d’illuminations fulgurantes, lors d’une sortie par exemple : « Arrivé à Coutances, nous montâmes dans un omnibus pour je ne sais quelle promenade. Au moment où je mettais le pied sur le marchepied, l’idée me vint sans que rien de mes pensées antérieures ne paraisse m’y avoir préparé. J’eus tout de suite une entière certitude. De retour à Caen, je vérifiais le résultat à tête reposée pour l’acquis de ma conscience. » Un peu plus tard, alors qu’il n’avance pas comme il le souhaite dans ses recherches, il décide de se changer les idées en allant passer quelques jours au bord de la mer, lorsque de nouveau il est traversé par l’illumination : « Un jour, en me promenant sur une falaise, l’idée me vint, toujours avec les mêmes caractéristiques de brièveté, de soudaineté et de certitude immédiate. » Enfin, parti effectuer son service militaire au Mont Valérian, et avec des préoccupations éloignées des mathématiques, Henri Poincaré reçut de nouveau la grâce de l’inspiration :« Un jour, en traversant le boulevard, la solution de la difficulté qui m’avait arrêté m’apparut tout d’un coup. Je ne cherchai pas à l’approfondir immédiatement et ce fut seulement après mon service que je repris la question. J’avais tous les éléments, je n’avais plus qu’à les rassembler et les ordonner. Je rédigeai donc mon mémoire définitif d’un trait et sans aucune peine. »


Processus créatif et rôle de l’inconscient


Au moment où son esprit se relâche et est occupé à d’autres loisirs, la solution semble lui apparaître d’un seul coup et au moment où il s’y attend le moins. Comment l’expliquer ? S’agit-il du rôle de l’inconscient ? Henri Poincaré s’est beaucoup intéressé au processus créatif, tout comme d’autres chercheurs. Jacques Hadamard, par exemple, un autre mathématicien, a publié l’Essai sur la psychologie de l’invention dans le domaine mathématique. Pour Jocelin Morisson, journaliste scientifique et auteur du livre Intuition et 6ème sens« le modèle Hadamard-Poincaré de la créativité scientifique, appliqué aux mathématiques, décrit un processus en quatre étapes. Après une grande quantité de travail conscient, le chercheur bloque sur un obstacle et doit laisser le problème de côté. Mais son désir de résoudre le problème le conserve intact dans l’inconscient. C’est au niveau inconscient que l’obstacle est levé, puis la solution « parvient à la surface » de la conscience. Enfin, la vérification de la justesse de la solution est effectuée. Réflexion, incubation, illumination, vérification. » 


Hasard ou coïncidence ?


De son côté, Cédric Villani aime parler du rôle du hasard : « Je pense que le hasard est un élément essentiel de la vie du scientifique, en tout cas dans ma vie en particulier », analyse-t-il dans une interview réalisée pour la revue National Geographic, ajoutant qu’il s’agit de le provoquer et d’en tirer parti. D’après lui, « il y a un élément un peu glorieux, assez épique, dans l’idée que les choses ne sont pas écrites au départ et que l’on tombe sur la bonne coïncidence, le bon coup de chance, le bon signe du destin ». Cédric Villani évoque ainsi l’inspiration de Clément Mouhot, son ancien élève au moment des faits, devenu aujourd’hui l’un de ses collaborateurs favoris. Au départ, les deux hommes travaillaient sur un problème de régularité dans l’Equation de Boltzmann, mais très vite, au cours d’une séance de travail, Clément Mouhot précisa : « Cela me rappelle l’amortissement de Landau ». A ce moment précis, se souvient Cédric Villani, « toute mon existence a basculé. C’est une aventure qui m’a entraîné sur des années de recherche... On s’est retrouvés à travailler sur un problème complètement différent de ce que l’on avait pu imaginer ». Cette révélation soudaine a entraîné le duo non plus dans l’étude seule de l’équation Boltzmann, mais également sur l’amortissement de Landau, dont les recherches et les démonstrations ont abouti à une reconnaissance internationale.


Une inspiration salvatrice


Des « illuminations » semblant parvenir lors de moments critiques renversent soudainement la situation en faveur du mathématicien, comme le montrent d’autres exemples cités par Cédric Villani. En 2001, la veille d’une présentation orale, il s’aperçoit d’une terrible erreur dans la démonstration de la preuve d’un théorème. Il passe alors une partie de la nuit à chercher à résoudre ce problème, en vain, et se dirige le lendemain matin à la gare afin de se rendre à l’endroit où il est attendu pour exposer sa présentation, très ennuyé par la situation. Et c’est de façon quasi-miraculeuse que la solution adéquate lui parvint sans crier gare : « Dès que je m’installai dans le train, l’illumination survint et je savais comment il fallait corriger la démonstration. Cette fois-là, j’ai passé mon trajet dans le train à mettre le résultat sur pied, et je l’ai annoncé non sans une certaine fierté. Publiée peu après, cette preuve a fourni la matière de l’un de mes meilleurs articles. » Puis travaillant sur un autre programme, la chance apparut de nouveau alors que l’horizon semblait bouché : « Là encore, alors que tout semblait compromis, nous avons pu passer tous les obstacles et tout s’est mis à fonctionner comme par enchantement. Avec un vrai miracle d’ailleurs, un calcul énorme dont quinze termes se recombinent pour constituer un carré parfait… un miracle aussi inespéré qu’inattendu, puisqu’en définitive on a prouvé exactement le contraire de ce que l’on pensait démontrer ! » 

Hasard, chance, inconscient… Difficile de tirer une conclusion pour expliquer ces mystérieuses aides semblant venues tout droit du ciel. Ce que confirme Jocelin Morisson : « La thèse de l’inconscient expert, qui fait tout le travail en sous-main et livre la solution clés en main, est particulièrement intéressante, mais une explication alternative et éventuellement complémentaire est l’accès à une certaine source de connaissance, d’une nature qui reste à élucider et par des voies qui le restent tout autant. »
Théorème vivant, Cédric Villani
Editions Grasset (Août 2012 ; 288 pages) 



Intuition et 6e sens, Stéphane Allix & Jocelin Morisson
Editions de la Martinière (Avril 2013 ; 156 pages) 
Collection : Expériences extraordinaires



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La face invisible de « Star Wars »

En près de 40 ans, et bientôt 7 épisodes, la saga « Star Wars » est devenue un mythe. Pourquoi fascine-t-elle ? Et si elle traçait un véritable chemin initiatique ? Décryptage d’une épopée, de l’ombre à la lumière.

© Stars Wars Georges Lucas
« J’avais 11 ans lorsque j’ai vu le premier épisode, se souvient J.J Abrams, réalisateur du futur Star Wars 7, dont le tournage débutera en mai 2014. Ce film m’a marqué à jamais. Tout était possible, il existait dans l’univers un monde inconnu, d’une incroyable richesse. C’est ce qui, aujourd’hui encore, nous interpelle. »

Un monde inconnu ? Parle-t-il simplement d’un univers où d’autres planètes sont peuplées, où les guerres se règlent dans les étoiles ? Pas forcément. Sous ses allures classiques d’affrontement entre le bien et le mal, Star Warsévoque les arcanes éternels de l’humanité… et en donne les clés. « George Lucas a été très influencé par le travail de l’américain Joseph Campbell sur les mythes, la façon dont ils s’articulent et ce qu’ils nous enseignent », indique l’universitaire Paul-Georges Sansonetti dans l'émission de radio Bob vous dit toute la vérité. Depuis la nuit des temps, d’un bout à l’autre de la planète, ces récits aux structures étrangement similaires ont pour but de nous transmettre un message. Que nous révèle donc l’histoire de Luke Skywalker ?

Voyage initiatique


Au début de la saga, le héros est un jeune homme ordinaire. Un concours de circonstances, pourtant, l’amène à s’extirper de son train-train, traverser ses peurs, transcender ses doutes et ses blessures pour relever des défis périlleux, en tirer une sagesse et accomplir un destin extraordinaire. « Son nom, déjà, n’a rien d’anodin, note Paul-Georges Sansonetti. Skywalker : celui qui marche au ciel, qui va prendre la mesure de sa dimension céleste. » Car là est bien le sujet, dans les parcours croisés de Luke et de son père, Anakin, devenu le maléfique Dark Vador. Qu’est-ce qui, à un moment donné, nous fait pencher vers l’ombre ou bien vers de la lumière ? « Selon l’expression du Tao, il n’y a pas l’épaisseur d’un fil d’araignée entre le bien et le mal », rappelle Paul-Georges Sansonetti. A chaque instant, « on peut basculer d’un côté ou de l’autre ». La vie ne cesse de nous meurtrir, de nous challenger. Le choix est nôtre : nous laisserons-nous aller à la peur, à la colère, l’impatience, l’orgueil, la convoitise ou la soif de puissance, ou parviendrons-nous à dépasser cette tentation pour affronter notre part d’ombre, parvenir à la transcender et rayonner d’autre chose, plus vaste que nos égos ?

« Star Wars transmet l’idée qu’on récolte toujours ce que l’on sème », note Paul-Georges Sansonetti. Mais la saga n’est pas qu’une histoire de karma. Epaulé par la confrérie des chevaliers Jedi, Luke Skywalker découvre peu à peu que la maîtrise de son intériorité peut l’ouvrir à un monde plus vaste. Tout à la fois combattants de la justice et de la paix, gardiens d’une vérité et mentors spirituels, ces Jedi – à la croisée du Merlin du Roi Arthur, du Gandalf des hobbits, des Chevaliers de la Table ronde et des Samouraïs – transmettent au jeune homme un enseignement fondé sur la reconnaissance et la maîtrise de la Force, « un champ d’énergie qui nous entoure, nous pénètre, lie tous les êtres vivants et toutes les galaxies » - comme l’un d’eux dans le film. La notion n’est pas nouvelle : c’est le Chi des chinois, le Prana des hindous, le Dieu des religions monothéistes, le principe polynésien de Mana, le Ka de l’Egypte ancienne « qui désigne à la fois la force vitale et spirituelle, et le corps subtil, explique Paul-Georges Sansonetti. Pour les égyptiens, le point de concentration du Ka était une colonne représentant la colonne vertébrale d’Osiris, qu’ils appelaient le Djed »… Et dont Georges Lucas s’est peut-être inspiré pour nommer ses chevaliers.

L’entraînement que reçoit Luke Skywalker est donc une sorte de « yoga », de discipline complète de l’être destinée à faire taire le bruit du mental, se défaire des réflexes conditionnés, se relier à son intuition et prendre peu à peu conscience que nous ne sommes pas que matière, qu’une force subtile nous entoure, qu’il est possible de s’y connecter et de l’utiliser, si tant est que nous parvenions à limer notre égo pour atteindre l’unification du corps et de l’esprit, de soi et de tout le reste. Alors, comme les Jedi, nous serons capables de pouvoirs qui peuvent paraître extraordinaires (suggestion mentale, kinesthésie, sixième sens, télépathie)… Mais qui sont décrits par toutes les sagesses ancestrales, que ce soit le bouddhisme, le vedanta, l’alchimie ou la cabbale, comme le signe d’une progression vers la lumière.

Vers la non-dualité


« Dans Star Wars, ce yoga est enseigné depuis 800 ans par Yoda », remarque Paul-Georges Sansonetti, une espèce de tortue dont les oreilles pointues « captent les vibrations du monde. En extrême-Orient, la tortue incarne la sagesse, parce qu’avec son ventre plat et carré, symbole du monde matériel, et son dos rond, symbole du cosmos, elle se situe en équilibre entre la Terre et le Ciel. Son nom renvoie aussi à yod, la plus petite des lettres hébraïques, qui contient en germe toutes les autres. » Pour les spécialistes, la saga fourmille ainsi d’informations codées. La mère de Luke, par exemple, s’appelle Padme – « lotus » en sanskrit, emblème de l’accomplissement spirituel ; elle vit sur la planète Naboo, nom d’une divinité babylonienne de la sagesse ; elle règne sur un environnement vert et généreux évocateur de Gaïa, aux antipodes du monde métallique et sans âme mis en place par l’Empire. La maison mère de l’ordre Jedi « est un véritable mandala en trois dimensions, indique aussi Paul-Georges Sansonetti. Elle se compose d’une enceinte carrée, flanquée de quatre tours aux angles et d’une tour centrale, symbole de l’axe qui permet de passer du monde terrestre au monde céleste ».

Pour y parvenir, le héros a besoin de s’entourer. Comme Frodon avec la Communauté de l’Anneau, Luke ne peut réussir sans ses compagnons. Une fois encore, exit le dualisme et la présomption de penser qu’on est seul assez puissant ! Les troupes qui finiront par vaincre le Mal sont fortes de leur diversité : tous leurs membres sont différents, tous savent mobiliser leurs ressources propres, coopérer et apprendre des autres, au service d’un bien commun qui dépasse leurs individualités. Dans Star Wars, Han Solo se défait ainsi peu à peu de ses postures de cowboy cynique et marginal pour s’ouvrir à l’altruisme, et s’engager dans une cause qui ne le concerne pas directement.

Jusqu’à la leçon finale : quand Luke, toute peur et toute haine dépassées, choisit d’essayer de ramener son père vers le bien, quitte à y perdre la vie, puis quand Dark Vador décide de sortir son fils des griffes de l’Empereur et de débarrasser la galaxie de celui-ci, « on est en pleine alchimie », dit Paul-Georges Sansonetti : les dualités se réconcilient, l’équilibre est rétabli, les ténèbres se convertissent en lumière. Cette force de métamorphose est en nous. Toutes les sagesses traditionnelles s’en font l’écho. De son acceptation, de sa compréhension, peut naître un rapport au monde plus juste, plus profond, où matériel et spirituel, visible et invisible cohabitent – comme à la fin de Star Wars, quand les Jedi défunts se tiennent aux côtés des vivants.

Le message est toujours d’actualité : quelle place faisons-nous à la Force dans nos vies ? Lorsque George Lucas a imaginé Star Wars, le monde occidental aspirait à un changement de société : la France sortait de mai 68, les Etats-Unis s’enlisaient dans la guerre du Vietnam et le scandale du Watergate, le choc pétrolier engendrait de graves tensions économiques… De tout temps, de la Rome antique à l’Allemagne hitlérienne, le monde a vacillé sous les luttes de pouvoir, la corruption, la perte de l’intérêt général, la volonté de toute-puissance. Pourquoi en arrivons-nous là ? Que changer à nos façons d’être et d’envisager le monde pour redonner à notre humanité un sens, la reconnecter à sa source ? Quand l’homme comprendra-t-il qu’il ne peut continuer dans le culte du « moi je » et de l’avoir ? Qu’il existe un ordre et une force capables de le guider, de le connecter à tout l’univers, de le relier à une justesse de vision, d’intention et d’action ? « Le film nous enseigne qu’il est utile d’ouvrir notre cœur à la part de mystère de la vie », conclut l’une des intervenantes du documentaire Star Wars, les origines d’une saga. « Cela nous aide à accomplir notre propre voyage du héros. » Que le périple commence. Que la force soit avec nous.

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mercredi 26 mars 2014

Nassim Haramein

L'univers du Yi King ou Yi Jing


Aperçu de phénoménologie de l’univers
à partir du Yi Jing
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Biographie de Nassim Haramein. Nassim Haramein est né à Genève, ...
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  1. Nassim Haramein Einstein des Temps Nouveaux | BOUGER LA VIE

    bouger-la-vie.com/blog/nassim-haramein-einstein-des-temps-nouveaux/

    vidéo inédite résumée consacrée à Nassim Haramein et à ses recherches fondamentales en physique sur les trous noirs et l'énergie primordiale de l'univers.

 Cette vidéo de Nassim est lumineuse... 
allez jusqu'au bout même si au milieu ça semble un peu technique
 et avec Nassim Haraneim
 http://consciousmate.blogspot.fr/p/en-francais.html

lundi 17 mars 2014

Les premiers instants du Big Bang



L'univers du Yi King ou Yi Jing


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En scrutant des rayonnements aussi vieux que le Big Bang, des scientifiques ont validé une des plus importantes hypothèses cosmologiques.
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